Des débuts de l' ère industrielle au TGV, en passant par
l'Union Pacific, la Bête humaine, l' Orient express,le
Transsibérien, le train s'est chargé d'images diverses
renvoyant à un univers fantastique où le blues des fumées,
des rythmes d'acier, du tonnerre des pistons s'est modulé
du spleen des trains de banlieue. Il était important, pour
une fois, de montrer l'envers du décor. ici, pas d'énormes
machines qui vous emmènent dans une course folle, pas
d'équipée sauvage, pas de gares abandonnées où les
pâquerettes poussent sur les chemins de traverses? Rien que
le monde des cheminots, le monde de ceux qui font le train.